page 46 des incipits

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Nous montâmes dans l'autobus, lui, moi. Il avait une drôle de
Nous n'allons pas en faire toute une histoire? N.E.S., Confrontations
Nous nous aimions sur les bancs du parc. Seuls ses doigts connaissaient
Nous n'y sommes pas: nous avons cru y être. (Enfin... j'y ai
Nous parlerons de la RATP et j'ai avec moi M. Sicou et M. Cordelier.
Nous prîmes l'habitude de tirer l'un de l'autre du plaisir et
Nous réclamons la priorisation du confort pour les debouts.
Nous réclamons que le nombre actuel d'autobus en circulation
Nous recommandons de munir les autobus de freins progressifs,
NOUS REVENDIQUONS LE DROIT de porter des chapeaux mous à cordon...
Nous sommes au milieu d'un été chaud. Je me heurte à un gars
Nous traversions ensemble en secret la cité. N.E.S., Romantique
Nous vous amenons la vérité pieds et poings liés. N.E.S., Rapport
Nous vous faisons un gigantesque pied-de-nez. N.E.S., Exterminons
Nous voyageons en semble.
Nouvelle rencontre.
Nouvelles rencontres.
Nul autobus n'est confortable devient Tout autobus est inconfortable.
Nul ne peut s'y connaître comme un grand couturier.
Nu rouj serv iidm ud éôct ud carp Uonceam, rus al elatp-eormf
Occupe-toi de tes fringues. Je m'occupe des miennes. M.N.
Ô Cordelier, entre tous les Ernest, dandy de Saint-Lazare, à
Ô Cordelier, je t'apprendrai comment parcourir les artères odoriférantes
Octante.
Ô Esprit-Saint, inspire-moi plutôt des paroles de paix. Dissipe
Ogan labessé son danbo... de J.-P. Curtay.
Oh! je ne doute pas que ce soit par inadvertance...
Oh! l'autobus? Il disparaît au loin sans moi! Il me semblait
Oh! le long, long cou.
Oh! Ne fais plus jamais ça...
--- Oh! Oh! On sort de chez le teinturier. Aucun faux pli.
--- Oh! quelle élégance, on s'en va à des noces?
Oh, de si beaux escarpins! Insultez-moi, Monsieur. Je l'ai mérité.
Oh non! merde! Le bus est plein. Poussez-vous... Allez, allez,
Oh, oh... Je vous l'avais bien dit!... Quoi?! Mais non!? Pas
Oh oui, vous avez une belle, belle voix... [et gorge].
Ô mon imper fini! Comment supporter plus longtemps qu'un bouton
O mort, vieux capitaine, que faites-vous sur mes pieds?
On accueille décidément n'importe qui dans les autobus de la
On a des spécials sur les bières importées.
On a entendu leurs pas... Longtemps longtemps... jusqu'au bout.
On allait bien voir ce qu'il avait: des couilles ou une sale
On a mis aux travaux forcés les classiques et leurs poncifs.
On a raison de le dire: un autobus sera toujours un autobus!
On attendait l'autobus. L'attente se prolongeait. Le temps passait.
On aurait dit la colère d'Achille. N.E.S., C'était le bon temps
On aurait dit qu'il allait vomir ou pisser dans son falzar.
On aurait même pu remarquer que, plus le trajet avança, plus
Once upon a time, around noon, on the «plate-forme» of the S
On connaît jamais assez son bonheur... N.E.S., Nostalgique
(On décale l'alphabet d'une lettre)
On dessine un R dans un Q en sorte que les traits obliques de
--- On dirait, Monsieur, que vous le faites exprès, de me marcher
On dirait, Monsieur, que vous le faites exprès, Q.E.S., p.67,
on dirait, qu'i pleurniche, quvous lfaites essprais, qu'i bafouille,
On dit qu'il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas?
On doit l'autobus attendre. (Verbe à la fin, en allemand par
On est serré, sur cette plate-forme.
On est susceptible quand l'égo vous tourmente; et à cet âge-là,
On était écrasé par la chaleur.
On eut dit une valse effrénée (uu_/uu_/uu_) N.E.S., À la Chagall
On fait mine d'enlever son chapeau et de le remettre pour désigner
On file à toute allure.
On le bouscule. / Son cri se fait ardent.// (4/24//) ou (12/)
|'On le bous|c'ule.[] Son |cr'i se |f'ait ar|d'ent[]|'
O·n le bouscu·le. Son cri· se fait arde·nt.
On le bouscu|l'.[]Son cri|se fait ardent.
On le reconnaît à son chapeau.

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