Ramène-t-on les problèmes extérieurs à des pensées?
S'agit-il de la façon de poser un ensemble de problèmes?
Fait-on allusion à des événements ou des problèmes récents?
S'imagine-t-on venir à bout de ses problèmes par un flot de paroles inconsidérées?
A-t-on un groupe de personnes mandatées pour chercher la meilleure solution à certains problèmes?
S'imagine-t-on, d'une phrase courte, avoir résolu tous les problèmes?
Prend-on le temps de discuter un ensemble de problèmes sous tous les angles, d'établir les arguments et les preuves?
Agit-on de manière incontrôlée, sans tenir compte des conséquences, pour échapper à ses problèmes?
La transposition graphique d'un mot étranger pose-t-elle des problèmes parce que la correspondance des sons et des lettres n'est pas la même dans les deux langues?
Se sert-on d'un procédé d'écriture en vue de rendre le texte plus beau?
Redouble-t-on, généralement à l'avance, un procédé qui aurait pu passer pour involontaire?
Dit-on les choses nûment, sans figuration ni procédé autres que ceux que le sujet requiert absolument?
Réutilise-t-on un procédé parce qu'il vient d'être bien accueilli?
S'agit-il d'un procédé qui disparaîtrait si l'on changeait de terme lexical?
Le procédé de composition est-il sans rapport avec un effet de sens?
Un procédé est-il mis à contribution alors qu'il n'est pas requis par le contenu?
Le procédé est-il employé pour sa forme, indépendamment de son sens?